Le narrateur ne parle pas ; il crie, il crie l’horreur de sa situation, en attente d’être exécuté ; Trois procédés soutiennent ce cri :
La répétition de mots ou d’idées/ qui représente l’obsession du narrateur (proche de l’anaphore)
La fréquence des adjectifs qualificatifs, qui font naître le PATHETIQUE ( qui vise à exprimer une émotion intense et douloureuse) :une “ horrible, une sanglante, une implacable idée ” ; grilles hideuses
Des métaphores qui associent l’enfermement physique et l’obsession mentale :
“ mon esprit est en prison dans une idée ”
Des comparaisons ( qui font déjà planer l’idée de la guillotine)
“ cette pensée infernale, comme un spectre de plomb…..reparaît sous la forme d’un couteau ”